J’observe que la réglementation rend de plus en plus prégnante la prise en compte des classes de risque dans les préconisations des conseillers.
Précisons que nos classes de ROBO-Risque ne tiennent pas compte de ce qui figure sur le DICI. Elles sont calculées chaque jour de façon algorithmique.
À ce titre, nous sommes darwiniens et nous ne croyons pas à la fixité des espèces. Des dérapages de volatilité relative sont toujours possibles pour un OPCVM donné, et nous surveillons ceci comme le lait sur le feu.
Notez que le nombre de Fonds par classes de risque traduit notre analyse globale des marchés. Ainsi, la distribution de notre sélection a une signification forte quant à l’allocation stratégique.
De fait, si nous gérions un fonds de fonds absolument flexible qui aurait pour objectif d’optimiser le couple momentum versus risque, tel serait le portefeuille que nous constituerions.
Certes, ça fait un peu comme un grand planeur aux ailes démesurées. Mais, quant au couple volatilité / performance, une telle méthodologie pourrait relever bien des défis.
